Dans la voie que la médecine a choisie, cette dernière semble avoir atteint ses limites : il serait urgent de faire mieux !
 En effet, lorsque son corps ne fonctionne plus correctement, l’homme aujourd’hui fait confiance à la médecine, tout comme il fait confiance au mécanicien lorsque sa voiture ne roule plus, à l’électricien quand l’un de ses appareils est en panne. Sans doute la médecine restera-t-elle toujours utile pour réparer tel ou tel dégât.
 Mais notre avenir, ne dépend pas du perfectionnement des moyens de réparation.
 Or, tout le monde sait la recherche fort coûteuse, mais le prix des erreurs qui engendrent maladies dé-génératrices et affaiblissement de la race (humaine) est encore plus élevé.
 Nous ne sommes pas des pays pauvres, et les fonds de recherche existent. On pourrait par exemple prélever une partie des sommes destinées à la recherche anti-cancéreuse, les consacrer à l’étude de notre alimentation, puisque fondamentale, et par la même, faire d’importants progrès dans la maîtrise du cancer. La dégradation majeure de notre santé, est due comme nous le savons pertinemment aux maladies dégénératrices : on appelle maladies chroniques dégénératrices, des affections dans lesquelles surviennent, sans cause apparente, au niveau des organes ou des tissus, des lésions qui en perturbent le fonctionnement. Non soignés, elles sont dans la règle progressive.

Et si nous abordions les problèmes de santé en amont ?

L’effort en vaut la peine !